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Date de rencontre Membre Ville Apparence Massage
11.03.2019 quasimodo

9 Évaluations , 1 Commentaires

Paris

About the meeting:

Place: À son appartement
Durée: 60 minutes

Apparence et Services:

Apparence: 9.5
Massage: 10.0
Rapport: qualité/roses: 10.0
Rating: 92.6
Massage: Enthousiaste
Attitude: Amicale
Conversation: Intelligente
Disponibilité: Facile de réserver
Photos: Photo 100% réelle

Évaluation:

Je confirme les évaluations positives précédentes. J'ai passé un moment délicieux très GFE avec Chanthal, tout s'est passé à merveille. Douce et câline, avec un tantinet de classe et une intelligence certaine, son corps est harmonieusement proportionné. Bref je la recommande sans hésitation.

Date de rencontre Membre Ville Apparence Massage
03.03.2019 marc-antoine

33 Évaluations , 46 Commentaires

Paris

About the meeting:

Place: À son appartement
Durée: 120 minutes
Cadeau: 550
        

Apparence et Services:

Apparence: 10.0
Massage: 10.0
Rapport: qualité/roses: 10.0
Rating: 98.5
Massage: Enthousiaste
Plusieurs Massages: Oui, plusieurs fois
Poitrine: Réels
Attitude: Amicale
Conversation: Intelligente
Disponibilité: Facile de réserver
Photos: Photo 100% réelle

Évaluation:

Jeu de dames. « Volupté, sois toujours ma reine !  / Prends le masque d'une sirène / Faite de chair et de velours, » (Ch. Baudelaire, Prière d’un paien) La volupté a souvent pour moi le visage de Chanthal. Et ce le fut encore cette fois. Une douce envie d’un bon moment de plaisir charnel et de complicité m’a conduit à rechercher en fin de soirée la compagnie de la belle magicienne et de la charmante amie qu’est Chanthal. Passer deux heures en sa compagnie est la plus sure recette de vivre un tel moment sublime où l’esprit conduit à la chair, la chair à l’esprit. Où chaque instant est illuminé par son élégance, son esprit, sa beauté, sa sensualité ravageuse et sa si grande gentillesse. Paradoxe d’une femme qui d’un instant à l’autre peut être par sa beauté la femme fatale par excellence, l’’instant d’après l’amie la plus charmante. Ce soir-là, à l’heure dite, j’ai gagné son appartement en traversant le fleuve sur les bords duquel la sublime dame dispense son art. Puis, au signal, j’ai monté les quelques marches menant à sa porte. Un bruit de serrure, la porte s’ouvre. Le grand salon apparaît. Trois pas en avant : un grand bond vers le plaisir. La porte se referme. Je me retourne. Elle est là. Rayonnante. Son visage magnifique. Son sourire irrésistible. La délicieuse musique de sa voix. Et son regard lumineux d’intelligence et de malice. Un ravissant kimono rouge tentait de dissimuler son magnifique buste. Mais délicieusement, la générosité de ses formes contrariaient le tissu et laissait apercevoir un magnifique fruit enserré dans un ravissant soutien-gorge noir. « Couvrez ce sein que je ne saurai voir. / Par de pareils objets les âmes sont blessées, / Et cela fait venir de coupables pensées. » A dire vrai, cher Tartuffe, j’espérai plutôt apercevoir ces objets dont mon âme est charmée et qui me font venir des pensées gourmandes. D’autant que mon hôtesse était campée sur ses magnifiques jambes. Longues, fines et puissantes. Dans une attitude d’amazone prête à repousser l’assaut. Telle une sœur latina de l’Ursula Andress du Dr No.  Mais le moment de la mêlée des corps n’était pas encore venue. Aussi, de sa longue foulée élégante, la reine des Amazones m’emmena d’abord sur son canapé. Chanthal fait partie de ces ladies cultivées, intelligentes, vives avec lesquelles le social time est aussi un moment délicieux. Au XVIIIe siècle, elle aurait sans doute tenu salon et aurait compté à sa table nombre de gens d’esprits et beaucoup de beaux et bons amants. Durant ce préambule, à l’ombre de sa beauté, le champagne parut encore plus pétillant et délicieux. Enfin, l’ordre vint de la reine : « A la douche ! » La bataille était annoncée. Sous l’eau,  je pensais à la jolie de vie de ce pommeau de douche au-dessus de moi qui tous les jours, plusieurs fois même, avait le bonheur de contempler à loisir son magnifique corps, de l’enlacer de ses jets d’eau. Et cela me donna de l’appétit : « Je voudrais te dévaster d’amour / comme les cigales mangent les champs / et que tu sois nu de toi-même / et qu’il n’y ait que moi pour te recouvrir. / Tu ne saurais plus où tu commences, où je finis, / Emmêlés dans la chair et l’esprit, / brûlés vifs l’un sur l’autre, / se riant du plaisir / comme des enfants, l’hiver, / qui ont enfin chaud dans la chambre chaude. » (A. Sodenkamp) Au retour de la douche, il ne fallut pas beaucoup de temps à la reine des Amazones pour vaincre par sa sensualité, son art maitrisé, la beauté de son corps, sa souplesse dans l’action, la jolie symphonie de ses murmures. Il est des moments de grâce uniques que les femmes savent créer. Alors que la dame de fer scintillait à quelques centaines de mètre, la dame de ma soirée s’élevait elle aussi au-dessus de moi me laissant redécouvrir la douceur de sa peau, la tendresse de son ventre, la beauté infinie de ses seins, la lumière de ses yeux.  « Ha Dieu ! que j’ai de bien alors que je baisotte / Ma jeune folion dedans un riche lit / Ha Dieu ! que j’ai de bien en ce plaisant conflit, / Perdant mon plus beau sang par une douce flotte. / Ha Dieu ! que j’ai de bien lorsque je la mignotte, / Lorsque je la chatouille, et lorsqu’elle me rit. / Ha Dieu ! que j’ai de bien quand j’entends qu’elle dit / D’une soufflante voix :  » Mon mignon, je suis morte !  » / Et quand je n’en puis plus, ha Dieu ! que j’ai de bien / De faire la moquette en m’ébattant pour rien. / Ha Dieu ! que j’ai de bien de pinçotter sa cuisse, / De lécher son beau sein, de mordre son tétault, / Ha Dieu ! que j’ai de bien en ce doux exercice, / Maniant l’honneur blond de son petit tonneau. » (Marc Papillon de Lasphrise (1555-1599)) L’esprit se fit chair, la chair se fit esprit. Puis le calme vint. La trêve. Chanthal eut alors l’idée d’une partie de dames. Lors d’un précédent rendez-vous, après une première partie équilibrée, elle m’avait écrasé. Aussi cette fois, j’eu l’idée d’une fourbe tactique lorsque la partie commença sur son lit défait. Une tactique inspirée par la très sensuelle partie d’échec que se livrèrent Faye Dunaway et Steve McQueen dans « L’affaire Thomas Crown ». Où le pauvre homme ne put jamais arriver à se concentrer, son vis-à-vis multipliant les gestes provocants, les regards appuyés, etc. Chanthal avait revêtu à nouveau son joli kimono rouge. Elle fit semblant de m’ignorer, de regarder uniquement le jeu. Mon regard s’attardait sur ses longues jambes, s’appesantissait sur ce sein qui s’obstinait à s’échapper du tissu qui l’enserrait. Je fixais cette gorge si fine, cette bouche si rouge, ce visage de madone. « Arrête de me regarder ! » fut le premier signe que ma tactique fort déloyale fonctionnait. Puis vinrent les autres signes : les erreurs. Et la victoire. Se voyant perdue, Chanthal éclata de rire, puis balaya avec sa main les derniers jetons. Son esprit de compétition acéré la conduisit à vouloir imméditament prendre sa revanche. Mais à ses conditions. A ce nouveau jeu de dames, le lit défait fit office de damier sur lequel nous étions les deux seules pièces. Chanthal était la reine des blancs qui pouvait aller et venir en tous sens sur ce théâtre. J’étais l’unique pion des noirs. Je me soumis bien volontiers à sa règle selon laquelle le pion ne peut prendre qu’en avant, jamais en arrière. Même la reine. A ce jeu, elle eut rapidement le dessus.  Il est difficile de résister à une telle prêtesse d’Eros. « Belle à charmer les miroirs, / Belle à vivre, belle à voir, / Belle comme on n’est plus belle, / [….] / De quel pays me viens-tu, / Belle, longue, lisse et nue […] » (P. Seghers « Belle »). C’était la fin de la soirée.  D’un merveilleux moment créé par la magie d’une femme. « Le temps irrévocable a fui. L’heure s’achève.  / Mais toi quand tu reviens, et traverse mon rêve, / Tes bras sont plus frais que le jour qui se lève, / Tes yeux plus clairs. » (P.J. Toulet Le tremble est blanc) A la sortie, face au grand fleuve de cette grande magicienne, pour rentrer, il ne me restait naturellement qu’à me diriger vers le Pont Mirabeau : « Sous le Pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours ». imageimageimageimageimage

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